Vallons de La Tour - TRIATHLON

Vallons de La Tour - TRIATHLON

IRONMAN VICHY

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BRAVO JC TU EST UN HOMME DE FER !!!!!!!!
COURAGE MARJO. TU EST EN ROUTE POUR ETRE UNE IRON GIRL ON EST AVEC TOI LES CARREIRA !
ALLEZ CHRISTIAN LACHE PAS
PATOCHE

Allez les verts on est avec vous la bise!!!!

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:coupe: BRAVO premiere IRON GIRL des vallons de la tour triathlon 

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Christian a 2 km du graal  

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Yes !!!!! merci à tous.
CR à venir

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Il est 6h15, les vélos sont dans le parc depuis la veille, les sacs de transition nous attendent bien alignés parmi les 1700 autres. Nous voici donc Marjo, Christian et moi à quelques minutes
du départ de cet Ironman qui est une première pour nous. On échange
quelques banalités histoire de faire passer le temps avant les
premiers départs. Bizarrement je ne doute pas, je ne veux pas leur
montrer mes certitudes par peur de tomber de haut, dans ma tête je
suis confiant concernant les distances à parcourir, ce qui
m'inquiète c'est la météo, déjà les drapeaux flottent au vent et
on annonce des températures supérieures à 35°.Le DJ lance des musiques faisant monter la pression et elles produisent leur effet : mon c?ur bat un peu plus fort, mon estomac
se noue, j'ai envie que ça commence qu'on me lâche. L'ambiance
monte chez les nombreux spectateurs qui s'agglutinent derrière les
barrières.
7h12 Marjo est la première des Vallons à s'élancer, l'eau est à 23,6°C la combi est autorisée. Tout en noir on se ressemble tous,
seule la couleur des bonnets pour les différentes vagues nous
différencie. 7H 20 c'est à mon tour de me jeter à l'eau et
d'attendre le starter. Je constate que mon estomac se libère, voilà
près d'un an que j'attends ce moment et dès le GO du départ même
si ça frotte un peu pendant une dizaine de minutes je profite de
chaque moment en cherchant à m'appliquer pour trouver l'allure
adéquate pour les 3800m à parcourir en 2 boucles. A la fin du
premier tour, c'est la sortie à l'australienne et l'occasion
d'entendre les encouragements du public, la sono et les deux
animateurs qui ne se tairont pas de la journée, ma montre indique
un peu moins de 35'. Sur la deuxième boucle les personnes que je
rattrape sont un peu plus nombreuses et il faut parfois slalomer ;
tout en nageant je me dis que j'ai de la chance d'être là
aujourd'hui sans pépin physique et avec ma famille qui m'accompagne,
une première depuis 20 ans et mes premiers triathlons promo du côté
de Font-Romeu où j'avais failli me noyer dans les 500m à
parcourir... 1h11 c'est le chrono à la sortie de l'eau, je trottine
sans trop me presser vers la tente de transition et je me change
complètement privilégiant le confort pour les 180 km de vélo à
venir.
Durant les 15 premiers kilomètres, je m'alimente et on remarque tous que l'on est assez proche les uns des autres et que si ça
continue cela va se transformer en peloton du Tour de France mais un
arbitre arrive et distribue quelques cartons noirs, synonyme de 5' de
pénalité au prochain ravito. Là-bas, en passant devant la
pénalty-box il y a déjà des concurrents qui attendent que les
arbitres les libèrent. Du coup, voyant cela, tout le monde devient
prudent. Sur le parcours je me sens bien, je ne me fie qu'à mes
sensations, ma montre ne m'indique que ma moyenne cardiaque :
pas la vitesse ni mes battements du c?ur instantanés. Le premier
tour passe vite, 2h54 sans forcer pour les 90km et j'ai peur d'être
parti trop vite, je ciblais 3h10 alors je ralentis un peu sur le 2ème
tour d'autant plus que le vent souffle beaucoup plus fort. Toujours
bien, je pense à m'alimenter et à bien m'hydrater car il commence à
faire chaud et l'ombre est rare. De temps en temps, couché sur mon
guidon je me surprends à sourire comme un benêt tellement je suis
heureux d'être là, je profite de tous les km, de chaque instant,
vivant la chance d'être là et de pouvoir faire ça, je n'ai pas
l'impression de faire une course contre les autres mais de relever un
défi personnel celui d'arriver au bout d'une course que d'habitude
je lis dans les magazines. Le deuxième tour est bouclé en 3h08 soit
6h02 pour la partie cycliste, c'est 20' de mieux que ce que j'avais
fait 17 jours plus tôt lors de ma reconnaissance sans compter les
multiples poses pour m'hydrater, m'alimenter et souffler...A la transition 2, je n'ai aucune courbature, ou tensions musculaires, je suis surpris par mes sensations, est-ce l'euphorie du
moment ou une bonne préparation ? Pour le marathon à venir je
vise 4h30, je cours prudemment, la gestion avant tout, avec comme
tactique de courir aux environs de 10 km/h et de marcher en
traversant les ravitaillements du parcours composé de 4 tours. Je ne
veux pas marcher en dehors des ravitaillements durant le premier
semi. Premier tour en 1h05, dans l'allure. Lors des 3 derniers kilos
du deuxième tour sur une ligne droite de 2 km sous un soleil de
plomb (35 ou 36°c à l'ombre) je sens que ça chauffe sous ma
casquette mais je me refuse à marcher quand même, certainement une
erreur car cela m'aurait permis de faire baisser ma température
corporelle et d'éviter ce coup de chaud du 22ème kilo. Je marche
pendant un kilomètre jusqu'au prochain ravitaillement où n'écoutant
que mes forces qui ne me disaient rien je m'assois pendant plus de
10' pour faire baisser la température. Je repars enfin en alternant
marche de 30 secondes et footing de 2 à 5 minutes écoutant la
température de mon corps pour éviter une deuxième surchauffe.
Malgré ce coup de chaud qui m'a ralenti (1h35 pour le 3ème tour...)
je ne garde que des pensées positives m'étant préparer mentalement
à subir des coups de moins bien. Je vis chaque instant à fond et
ressentant sincèrement le bonheur d'être là au 25ème, au 26ème,
au 27ème... kilos du marathon d'un Ironman. A chaque tour on passe
tout prêt de la finish line avec ses 3 tribunes bondées de
spectateurs qui hurlent et nous encouragent sous le soleil de plomb.
A chaque passage je croise les regards de ma femme, ma fille, mes
parents, j'espère à chaque fois qu'ils ressentent aussi un peu du
bonheur que je vis même dans le dur de la journée. J'entame le
dernier tour, plus que 10 kilomètres, je garde ma tactique car ça
chauffe toujours, le soleil semblant vouloir suivre la course sans
être caché par le moindre nuage. Je sais que mon chrono sera loin
des 4h30 espérés mais cela n'a pas d'importance, c'est l'extase en
moi. Je vis ces derniers instants avec joie malgré des cuisses qui
se durcissent. Lors des 2 derniers kilos je plane, je relâche mes
bras, je suis bien, j'ai des pensées pour Christian que j'ai vu lors
du 3ème et 4ème tour et je me demande où est Marjo. Je regarde
les concurrents autour de moi pour savoir où ils en sont, avec les
chouchous de couleur qui nous sont distribués à chaque tour on peut
savoir s'il leur reste encore 2 , 12 , 22 ou 32 kilomètres pour
finir. Quand à moi ça y est on me donne ce 4ème chouchou au bout
de 5h05, plus que 200 mètres, je vois mes proches, ils sont aussi
heureux que moi, souriant, criant, photographiant, levant les bras,
tout ça en même temps. C'est fini, 12h32, 10 mois d?entraînement progressif pour être prêt le jour J sans blessure, sans fatigue et avec beaucoup d'envie,
c'est un beau cadeau d'anniversaire pour mes 40 ans !

Dernière modification le mercredi 02 Septembre 2015 à 16:52:20
Jean-Christophe
06 95 12 18 97

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bravo JC  le phénix renait de ses cendres

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Alors que Marjorie rejoint la vague rose des féminines, je me retrouve avec JC qui est comme un lion en cage ou plus exactement derrière le grillage du parc à vélo. Maintenant c'est son tour il a le regard du guerrier qui part au combat et voilà que mon tour arrive et pour moi c'est plutôt un regard inquiet comme celui des bovins qui partent à l'abattoir. Arrivé depuis 2 jours, j'ai pris conscience des distances à parcourir (il était temps!) et le doute s'installe. Mais bon, il est maintenant trop tard pour faire demi tour. Un seul mot d'ordre "gestion".Depart pour la nat hyper prudent et de suite je me sent bien très rapidement je nage seul et je me régale en regardant le public, le levé du soleil sortie de l'eau au premier tour plongeon acrobatique et 2ieme boucle sur le même rythme. Juste avant la sortie de l'eau je jète un ?il sur ma montre 1h40 ! Tu m'étonnes que je me sente bien.
Un deuxième mot d'ordre avant le départ vélo "gestion mais en surveillant le chrono".La 1ère boucle est dans mes prévisions (3h30) mais il commence a faire très chaud et la galère arrive dès le début du 2ieme tour pendant 20 kms le vent de face nous clou sur place et les abandons commencent avec les passages des secouristes.Je n'en peut plus, le moral s'effrite et je craque au km 110. Je m'arrête à l'ombre d'un arbre. Voilà c'est terminé pour moi trop dur ! J'attend un peu et je cogite je vais repartir pour m'arrêter au prochain ravittaillement au moins je ne serai pas seul.Je touche vraiment le fond la chaleur est écrasante et évidemment on ne boit que de l'eau chaude. Et la le miracle intervient (Cf Mike et les dieux de l'IM), dans un village une fontaine, nous sommes 2 à nous arrêter pendant que nous. Lis aspergeons, une bénévole qui faisait la circulation a quelques mètres s'approche de nous avec de l'eau fraîche qu'elle a sortie de sa glacière (nous avons dû lui faire pitié) Nous buvons, remplissons nos gourdes et la, d'un coup le moral remonte et non je ne peux pas m'arrêter là. Je réalise qu'il me faudra à nouveau de l'eau
fraîche pour pouvoir terminer.Au km 150 je tombe sur un repas de famille qui se passe en bordure de route. Je m'arrête donc, mais comme il est déjà presque 15h ils sont déjà bien fatigués. On me propose du whisky, des feuilletés apéritifs et enfin la maîtresse de maison prend les choses en main et me donne de l'eau ! Cette fois c'est bon je vais terminer le vélo mais le marathon sera de trop. Quand j'arrive au bout de 7h45, je trouve ma femme seule (comme d'habitude car tout les autres supporters sont déjà partis) sur la ligne d'arrivée.Avant que je ne lui annonce mon abandon. Elle me regarde et me dit avec des larmes dans les yeux "Maintenant que le vélo est passé tu vas le faire !" Aïe ! Ça je ne l'avais pas prévu. Je savais donc ce qu'il me restait a faire : 42 kms en 6h pour être dans les temps. Je me dis qu'il faut que je me mette sur un rythme d'1h15 au tour en m'arrêtant à tous les ravitos.Les 2 premiers tours nickels sur la fin du 2ieme j'entends qu'on crie mon prénom, c'est Denis qui fait quelques mètres avec moi sa joie et son énergie me donnent un coup de boost tout comme les encouragements de maman Marjorie. Contre toute attente le 3 ieme tour se passe sur la même allure de sénateur.Et la commence le dernier tour , je m'arrête comme à chaque tour vers ma femme et nous savons que cette fois c'est fait car il reste 2h30 pour les 10 derniers kms que je vais parcourir en riant ,pleurant (quand il fait noir et s'il n'y a personne faut pas deconner) et puis arrive le dernier chouchou et l'entrée dans l'aire d'arrivée et la je sais plus ce qui se passe trop d'émotions et pas de mots pour le décrire !!!!

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Magnifique Christian!
Jean-Christophe
06 95 12 18 97

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J'ai oublié quelqu'un ! Celui qui semblait le plus fatigué avant le départ.
Merci John pour ta présence et l'effort que tu as du faire pour te lever après tes exploits de la veille.

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Grand bravo à toi et grand bravo à Laurence pour son support sans faille !!!
Il faut bien des derniers pour qu'il y ait des premiers !!



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Bravo !
Gaël PLASSART
06 28 65 74 83

Grand bravo a vous tous pour vos motivations respectives. C'est bien dans la tête que ça se joue.
Bise.  Respect 

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Persévérance, Courage, Dépassement de soi ...
Félicitations, Je suis certain que ton immense exploit donnera courage et envie à d'autres membres de la famille trivallonienne... En tout cas il inspire un profond respect !!

Chapeau bas mec !
No pain, no gain.

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Depuis le 15 aout 2010, je regarde ces épreuves XXL avec des étoiles plein les yeux !
Lorsque j'ai bouclé le Half de Vichy l'année dernière avec très peu d'entrainement, j'ai pensé que je pouvais me lancer...
Réveillée à 4h, après seulement 2h de sommeil dans un hôtel extrêmement bruyant, je descend prendre le petit dèj avec une dizaine d'autres "fous". Puis je rejoint le parc, où je retrouve mes collègues vert et noir. JC  a l'air plutôt détendu, Christian un peu moins. Associée à une musique qui envoie, la pression monte un peu mais sans plus finalement. De toutes façons il est bien trop tard pour se poser des questions ! Après avoir fait le bisou qui rassure à mes amis ainsi qu'à John et maman, je retrouve ma vague rose. Beaucoup de "copines"sont là, comme moi, pour leur premier.
Je me mets à l'eau tranquillou et nous voilà parties ! 160 au départ, me permet de nager sereinement pendant un long moment. Sortie à l'australienne, 40' sans forcer, je me sens bien. La deuxième boucle sera plus agitée puisque la vague de Jc nous rejoint et je me fait un peu chahuter. J'ai l'impression de perdre beaucoup de temps, mais finalement pas tant que ça puisque lorsque je me relève pour marcher sur le béton et rejoindre le bord, je suis en 1h20' à mon chrono décathlon. Là c'est un peu la cohue, alors je patiente !
Je me dirige vers la tente de transition toujours tranquillou ( je suis pas à 5 mn ! ). Et me voilà partie pour l'aventure ( et oui parce que le vélo, c'est toujours une aventure pour moi !! ) Le premier tour se passe bien, évidemment je me fais doubler par des groupes de la vague de JC, qui en plus roulent en peloton, mais je suis sereine sur mon petit vélo : je bois toutes les 10' et je mange toutes les 30' ( comme me l'a dit "maître Gégé" ) . Finalement le temps passe vite en faisant comme ça. 3h20 pour le premier tour, c'est cool ! je prends mon ravito perso et repars sur cette seconde boucle. Et là, un ami qui vous veut du mal  avait décider de faire un bout de chemin avec moi ! ( et avec Christian aussi d'ailleurs ! ).
Seb m'avait dit de ne jamais avoir mal aux cuisses, d'être toujours "facile" : je suis jamais facile en vélo ! 18km/h, tout à gauche comme si je montais un col, couchée comme jamais sur mon vélo, j'essayai de lutter contre ce vent et la chaleur qui commençait à se faire sentir! Je me rends très vite compte que c'est peine perdue alors je décide de prendre mon mal en patience, et si je mets 4h sur le 2ème tour tant pis ! Je termine ce tour tant bien que mal, avec un mal de dos : que c'est long 180 km !:snif:
Allez, 7h20 c'est pas si mal pour moi ! je suis largement dans le timing !
J'arrive sur Vichy. En bord de route, maman me dit que les filles n'ont fait que 4ème à Cognac ! Merde. Je suis super déçue pour elle et Seb !
Je vais me changer et c'est parti ! Là, je me dis mais comment ça va être possible de faire 42 bornes par cette chaleur. Quoi qu'il en soit " un Allagnat, ça n'abandonne pas ! alors tel un robot, je vais de ravitaillement en ravitaillement, prenant le temps de marcher pendant que je bois ! Qu'est ce que j'ai pu boire au cours de cette journée !!!!
Le premier semi est correct. Le temps limite est loin. La fatigue se faisant sentir je m'autorise à marcher sur les ponts du troisième tour ! Probable erreur. Trop de vent, trop chaud mes jambes ont du mal à repartir. J'ai des moments d'absence pendant ce troisième tour.... Mais j'avance quand même.
Je  repars sur le 4ème,  et déjà  beaucoup d'émotions,  en me disant que c'est fini ! 10 bornes c'est rien. Tout se bouscule dans ma tête : je revois mes séances d'entrainements toute seule, rendues difficiles par des soucis pro, je pense à Hugoline qui doit être déçue....Dans un état de détresse mentale avancé, je croise Laurence ( la moitié de Christian) qui de part le regard essaye de me remonter le moral. J'arrive au ravito et là les bénévoles sont fabuleux : ils vous félicitent déjà, vous serrent dans leurs bras ! Putain quel moment ! Je décide alors de profiter ! il reste 4 km, je regarde ma montre et je me dis que je peux le faire en moins de 15h. Alors me voilà repartie tranquillou ( toujours ! ). Je double des jeunes hyper affutés qui ont l'air de zombies ! A 1000 m , l'écho de l'ambiance de l'arrivée, me fait déjà monter les larmes aux yeux. Je craque complet à 500m. Puis j'arrive dans cette enceinte : un pur moment d'émotions comme seul le sport peut en faire vivre ! Laurence vous racontera mieux que moi.... Le speaker te hurle dessus " you are an Ironman" !
MAGIQUE
Christian me rejoint au ravito, on se dit qu'on ne nous y reprendra pas ! ( bon ça c'est ce qu'on s'est dit sur le coup !!!! )
Notre arrivée tardive nous a permis d'assister au feu d'artifice. C'était chouette.
Depuis un an dans ma tête et c'est déjà fini !
Fière d'être la première du club, j'espère avoir donné envie à plein d'autres.
Merci à tous ceux ( et celles ) qui ont cru en moi et qui m'ont soutenu.

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Et la y a rien ?
Marjorie (même si t'avais dit qu'on roulerait ensemble et que tu ne m'as même pas attendu,je ne t'en veux pas)
Grand respect car je me demande comment dans ta préparation tu as pu tout faire rentrer dans des journées de 24h.
Un conseil pour le prochain : arrête de " chougner " dans l'aire d'arrivée ça gâche les photos :snif:
On a pas fini d'avoir les larmes aux yeux et des frissons en repensant à cette journée
Quel pied !

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Hors-ligne
Félicitations à tous les trois! Chapeau bas et Respect!

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Bravo à tous les 3.
Et quelle surprise Christian !
Je comprends mieux pourquoi tu t'es aligné sur le 3000m NAT à Aiguebelette !

Vos CR sont super.

Je sais ce que représente la difficulté de cette course et de sa préparation.
Et j'imagine bien comment vous avez dû aller loin dans vos ressources mentales.

Alors oui, vous en avez chier.... mais quel bonheur indescriptible vous avez dû ressentir en passant la ligne d'arrivée.

Encore bravo, avec vos CR plein d'émotion, je suis certain que vous avez donné envie à beaucoup d'entre nous de (re)commencer cette aventure de fou !

You are IRON MEN !!!
In Diot we trust.

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Hors-ligne
Tib, tu sais que, sur cet IM,  j'ai souvent pensé à ce que tu m'avais dit à Machilly : " on ne subit pas la chaleur, on fait avec"
Ca m'a beaucoup aidé.

Dernière modification le mardi 08 Septembre 2015 à 16:55:59

8 appréciations
Hors-ligne
Et oui, ça c'est bien vrai !
Il faut l'aimer la chaleur (ou en penser du bien, en tous cas la ressentir et pas la subir) sinon elle se venge et fait très très mal.
D'une manière générale, je pense qu'il faut avoir des pensées positives sur tout ce qui "fait mal" pendant cette journée spéciale !
C'est du stoïcisme ça non ?
In Diot we trust.

Suis sincérement épaté.
Je te confirme Seb,ça donne envie.....

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Hors-ligne
Je viens de prendre le temps de lire vos CR. Quelle plume !! Quel courage !!
Bravo à vous trois, vous n'avez rien laché. 
Frantz en mode ému.
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